La localisation, le critère numéro 1 de l'investissement immobilier

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Le critère numéro 1 de l'investissement immobilier est la localisation
La localisation, le critère numéro 1 de l'investissement immobilier
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Les professionnels de l’immobilier et, par extension, tous ceux qui s’y intéressent de près, savent que trois critères sont décisifs dans toute transaction:

1) la localisation,

2) la localisation

3) et la localisation !

Car, si un bien peut être rénové et optimisé, il ne pourra pas être parachuté ailleurs. Investir dans l’immobilier, c’est avant tout cibler une localité et un quartier.

Les grandes villes : la valeur sûre

En la matière, les experts de Thomas&Piron recommandent aux candidats à l’investissement, qu’ils soient chevronnés ou débutants, de se tourner vers les grandes villes, comme Bruxelles ou Namur, par exemple. Leur popularité et leur statut de capitale garantissent d’excellents placements immobiliers. Mais d’autres pôles urbains offrent leur lot d’opportunités. C’est le cas des villes dites secondaires et périphériques, où le groupe porte plusieurs projets. Le foncier y est meilleur marché, et donc, gage de rendements élevés. En effet, si les prix d’acquisition fluctuent très fort d’une ville à l’autre, les loyers, eux, n’évoluent pas dans les mêmes proportions.

En périphérie, priorité aux centres urbains animés et bien desservis

En survolant la carte de la Wallonie, Joël Polus, directeur du Développement, épingle plusieurs communes comme Seraing, Fleurus ou Sambreville. Parce qu’elles font l’objet dune politique de travaux publics ambitieuse ou de projets de rénovation urbaine, voire parce que l’offre d’appartements - le produit phare de l’investisseur - y est insuffisante et ne répond pas à la demande. Mais surtout, insiste Nicolas Heubrecq, en charge de la Stratégie des promotions, parce qu’elles sont équipées d’un centre urbain pourvu en commerces, services et facilités. « C’est le premier élément à considérer », assure-t-il. En seconde position, il pointe les perspectives d’emploi et la mobilité (accès aux grands axes autoroutiers, bonne desserte en transports en commun…), qui sont de nature à attirer et retenir les jeunes ménages locataires. S’ils ont des enfants, la présence d’écoles, de crèches et autres équipements (sports, loisirs, santé…) est un atout supplémentaire.

Les étudiants, des locataires à suivre

Les étudiants forment eux aussi un public de locataires privilégié, souligne Joël Polus. C’est pourquoi les entités qui jouxtent une haute école ou une université sont tout aussi porteuses que les bassins d’emplois.

Le haut potentiel des quartiers en revitalisation

Les investisseurs en quête de bonnes affaires qui ne veulent pas quitter le giron des villes de référence s’intéresseront en priorité aux quartiers en devenir. À Liège et Charleroi, par exemple, Thomas&Piron mise sur des périmètres urbains autrefois délaissés, en cours de revitalisation grâce à l’attention des pouvoirs publics comme des promoteurs privés. Ainsi de la reconversion du site de Bavière, une friche sur laquelle le groupe a parié voici des années. Mais aussi de divers projets carolos qui sortiront bientôt des cartons, comme celui de Saint-Joseph.

À l’avenir, la proximité des espaces verts sera payante

Enfin, un élément est appelé à s’imposer dans les années à venir, pronostique Nicolas Heubrecq : la proximité d’espaces verts (parcs, bois…). « Avec le réchauffement climatique et les étés de plus en plus chauds qui s’annoncent, les gens rechercheront coûte que coûte la fraîcheur des espaces verts. À terme, leur voisinage sera un facteur de plus-value, au détriment de quartiers entièrement minéralisés qui risquent de se transformer en fournaise », conclut-il.

 

 

Découvrez nos projets dans ces localités

Namur https://bit.ly/novianamur

Sambreville https://bit.ly/aiseauterrainsmaisons ou https://bit.ly/ariasambreville

Liège https://bit.ly/grivegneemaisons

Seraing https://bit.ly/3pKCpt4